CHUCHARETTE: le blog de ceux qui sont charette

Bon je réécris sur mon blog (wouah ca fait jeune), enfin ca faisait jeune maintenant c'est un peu ringard non?? Bon je n'en sais rien et je m'en fous.

Je vais parler du week end passé avant celui qui arrive celui du petit Noël. Donc le week end passé: once upon a time... Et merde je sais plus ce que j'ai fait vendredi. Je commence donc par samedi. Donc nous levons vers 10h réveillé par la compagnie créole enfin le voisin nous réveille. Mais le voisin n'est pas la compagnie créole. Enfin c'est la musique à fond de "ca fait rire les oiseaux" qui nous réveille moi et Cyril. Mais où est Edouard? Edouard n'était pas là! Ah oui enfait c'était dimanche matin ça, donc on a pris le café dimanche matin et puis on est parti en début d'après-midi. J'étais garé (voilà une info dont je me rappelle au sujet de vendredi c'est cool) près de Perrache donc j'ai donc accompagné Cyril qui prenait le train.

Donc je reprend samedi je me réveille il y a Cyril et Edouard OUAIIII CA VEUT DIRE QU'ON EST BIEN SAMEDI MATIN. Début de matinée tranquille (enfin on s'est levé à 13h je crois). Là Edouard ne reste pas longtemps, il doit aller quelque part (me rappelle plus), alors j'insiste pour jouer à la coinche avec Jos et Cyril et Hélène (la colloc de Jos: oui je sais c'est compliqué mais ca faisait trois ans que j'avais rien écrit). Du coup on fait une bonne paie mais sans Hélène et Aurélie (c'est l'autre colloc). Et puis petit poker toujours sans Hélène et Aurélie. Cyril se fait rosser deux fois (ca je m'en rappelle) et Hélène décide de jouer (sans commentaire les changements d'avis). On boit une tite bière en jouant, tout le monde boit, même Aurélie qui ne joue pas. Evidemment ceux qui vont lire ce blog (et dieu qu'ils sont peu nombreux) ne comprenne pas: Jos, Cyril, Edouard et moi-même et il reste de l'alcool de la veille???Je vous rassure ils étaient aller le chercher juste avant la bonne paie. Et la un grand moment d'émotion arrive, le repas du soir!!! tout le monde est impatient et c'est le drame, il y a du chou dans les pates et le steak. Je me plainds, j'hurle, je pleure, je crie bref je montre mon mécontentement car je n'aime pas ça. A ma grande surprise, tout le monde se moque de moi soit disant je suis puéril et je ne devrais pas me plaindre. Monde cruel. Donc pour noyer mon chagrin je bois du rouge mais c'est la fin du rep... enfin la fin du rouge, quelques gens fument. Il est 11H nous partons au Since the cavern (nouvel endroit de prédilection) , Edouard m'envoie un texto pour savoir ce que l'on fait (il ne répondra jamais à ma réponse et à nos appels il est à un anniversaire et son portable sans sonnerie!! perso il a du rencontrer une moche ou une bête ou les deux et n'ose pas la ramener de peur de la critique.

Donc on arrive au Since the caverne avec Aurelie et Hélène, et c'est parti... Danse endiablée de Cyril et Aurélie trè rapidement rejoint par Jos. Je guette à la table, non loin de nous un groupe de "vieilles" en noir et mini vêtements qui scrutent étrangement Jos. Les filles finalement partent, peut-être une erreur pour nous de rester la musique est devenu très moyenne. Jos et Cyril continuent de danser et je me joins péniblement à eux. La soirée se termine, je fais la blague du mec qui fait semblant de tomber, le videur n'apprécie que très moyennement, bizarre... nous rentrons à l'appart. Je me reveille et je suis seul, on est le jour d'avant, il est vendredi 5h45 je me lève pour aller bosser... je raconte cette journée et surtout soirée plutard.. de toute manière je me rappelle de pas grand chose.

J'y suis. Au fleming's. Un patron breton accueillant, une pinte de murphy's red sur le bar, j'attends Edouard et 18h pour le début du match footballistique Ecosse-France. Le fleming's c'est un pub irlandais et pas mal breton aussi avec ses drapeaux celtiques. C'est petit et simple mais chaleureux avec des musiques celtiques en fond. Un quart d'heure avant le début de la rencontre, Edouard arrive, on doit encore attendre Sarah (ancienne de Paisley et fraîchement promue à l'IAE de Lyon). Le match commence. Sarah arrive. Discussion de tout et de rien mais toujours avec un oeil fixé sur l'écran. Le temps passe et soudain c'est le but Ecossais, sans consternation ni cris de joie, le pub est relativement calme. La victoire sera donc écossaise mais les litres de biere seront notre. Quelques peu "joviales" nous partons rue Baraban chez Greg qui donne un petit repas (évidemment nous nous arretons prendre quelques munitions chez le tunisien). Arrivé le repas a commencé (normal on est en retard) et nous installons à la table certains choisissent du st Emilion, d'autres du Ratafia. Je rappelle rapidement les effectifs: Greg et Marion; Tosh et Alex; Edouard et Sarah; Clemence et une personne dont j'avoue avoir zapper le nom, je m'en excuse; et moi-même et une bouteille de Bordeaux blanc (pas très bonne d'ailleurs). La soirée se déroule tranquillement, des amis de fac à Edouard et Sarah arrivent Matthieu, puis Kevin et des amis à lui. 1h du matin décision de partir en boite de nuit. J'avoue je suis déchiré comme un drapeau. On appelle un taxi, c'est un chinois qui nous demande 14 euros 30 pour aller jusqu'aux terreaux (ca fait un peu cher mais bon moi j'y connais rien). Direction avec Tosh, Edouard, Sarah et moi pour le sublime et ultra connu Quai Ouest. Malheureusement ce soir encore c'est fermé. Donc nous redescendons direction les quais de saone et arrivont à l'Ibiza, une boite de nuit d'ou semblent venir une forte musique rock. Nous rentrons pour 10 euros avec vestiaire et une boisson comprise (rien à dire). La musique bat son plein allant de Rammstein à Depeche Mode en passant par Noir Désir ou Nirvana. Pour moi, rien ne va mais la musique me tient à flots. Peut-être vers 4h, nous repartons de la boite à pied, nous arrivons à la Part-Dieu, Sarah prend un vélo pour faire les 300 derniers mètres et nous nous rentrons tranquillement à pied (enfin comme on peut surtout). Cette nuit-là, il n'y aura pas de repas, il y aura Dodo et reveil merveilleux avec France Info et la vente aux enchères des photographies de Brassaï (incontournable). Des troupes fatiguées feront la vaisselle et le ménage et prendront la bonne idée de rentrer chez elle. De mon coté, j'avais garé ma voiture en haut de fourvière pour être à coté de l'entrée du funiculaire. Le funi ne marchant pas se jour, j'ai eu le droit à une bonne montée à pieds. Voila encore un joli samedi comme il en existe moins de 6 dans un mois (c'est beau).

Il suffit parfois d’une phrase pour créer un week-end surprise. Et bien ce ne fut pas le cas, il en fallu plusieurs sur MSN. En quelques secondes un week-end à Roanne était arrangé avec la promesse d’aller au Stade Michelin voir un match de rugby de Clermont-Ferrand. Donc j’appelle Edouard et lui propose un week-end surprise. Je le récupère chez lui et nous voilà parti pour deux heures de route sans lui dire où on va. Un problème survint au niveau du timing, enfin plutôt au niveau de l’itinéraire. Une monstrueuse boulette de ma part pour éviter les embouteillages lyonnais d’un vendredi soir à 17h, nous entraîne dans un immonde détour dans les monts du Lyonnais. Après plus de 3h de route, un mal de crâne infernal pour moi et une envie de vomir pour Edouard, nous arrivons chez Alban, le Snake. Accueilli par quelques uns de ses collègues (notamment François sur lequel nous reviendront après) et deux bouteilles (une de rhum agricole et une de whisky) nous entamons la soirée pendant qu’Arlette et Bernard, les parents d’Alban, regardent la corrida à la télé. Après quelques difficultés et quelques Aspro, je décide d’aller me coucher suivi un certain temps après par Alban et Edouard.

Nuit difficile pour moi (mal de tête qui ne me lâche pas). Nous prenons le petit déjeuner et pour moi, nous allons en cette fin de matinée à la pharmacie. Le monsieur gentil me donne deux médicaments pour essayer d’enrayer ce malade de tête (non dû à l’alcool). Je prend un ibuprophène, le résultat semble être bien présent même si le soir même je ressens quelques douleurs dans la bouche vite noyé sous l’alcool (grosse erreur je suis devenu allergique à l’ibuprophène). Mais continuons par l’après-midi qui nous emmène à Clermont-Ferrant chez François ou plutôt chez Emilie, la copine à ce dernier qui nous montre l’endroit où se trouve le nouvel appartement à François. Malgré une fatigue visible dans ces yeux, François est là lui aussi. Rapidement sans un grand arrêt Ricard, nous prenons la direction du stade. Avantage du rugby, c’est facile de se garer. Le groupe se disperse un peu au grés des besoins des troupes : cigarettes, argents, sandwich, bières. Le groupe se retrouve à l’intérieur pour un festival de l’ASM qui malmène violemment le stade Toulousain (46 – 9). Dans la joie, Alban découvre un « jeu » : me taper sur les fesses et crier « la SM ». Fin du match, nous partons pour un pub « le pub des beaux arts » où ben y a pas grand monde et notamment pas les amis à François et Alban qui sont vers un autre pub où Edouard est séduit par la serveuse (je n’ai pas de photo je n’avais pas mon appareil photo panoramique). Après quelques verres, des hésitations, normal une soirée, nous nous rendons au pub « l’appart » (différentes pièces comme des pièces dans un appart : chambre, salon, salle de bains,…). Le lieu nous plait, mais l’envie d’une boite de nuit guette Edouard et Alban (François et Emilie sont rentrés et dit qu’ils reviendraient nous chercher. Cool non ?). Nous nous dirigeons vers « la » boite de nuit (j’avoue traîner un peu la jambe, pas trop tenté). A l’intérieur (entrée gratuite) c’est la déception car la salle est relativement vide et l’alcool trop cher. Nous retournons donc à l’appart et enchaînons les boissons. Une petite jeune fille fort mignonne s’exerce aux jeux du glaçons avec des gars qui ne semblent pas l’intéresser plus que ca. Cela ressemble plutot à une invitation pour n'importe quel autre mec. Pourtant nous continuons  à boire. Finalement décision du retour à la maison avec le coup de fil à un ami puis chez François tentative de dodo (certains semblent plus motiver à s’adonner à d’autres activités comme boire de l’absinthe.)

Lendemain difficile, petit tour de marché, puis petit déjeuner sont les prémisses du retour à Roanne puis à Lyon (plus rapide qu’a l’aller d’ailleurs).

Je pourrais rajouter une petite chose, à priori mes sphères sur la Xantia sont fatiguées et c’est pour ça qu’on a l’impression d’être dans un navire.

Arrivé directement du Sud, l'Isère nous ouvre ses portes. Pour aller chez Edouard nous prenons un raccourci qui peut-être n'en était pas un. Cyril et moi-même continuons, seuls, la route pour aller chercher Grégory à Villefontaine dans sa demeure familiale pour ensuite nous diriger vers la Bourgogne où vit une partie de sa famille. Arrivé devant sa maison, Cyril appelle Grégory au téléphone qui lui répond arriver car il est dans l'ascenceur! Et oui comme vous vous en doutez, l'ascenceur est celui de son appartement dans le centre de Lyon. Un vendredi soir à Lyon, en étant charette, ce n'est pas gérable, bilan Grégory doit prendre le train jusqu'à Villefranche sur Saône, pendant que nous passons rapidement chez Cyril pour récupérer sa voiture (nous sommes maintenant à deux voitures). Bilan on se perd une ou deux fois de vue, ce qui nous mettra en retard de quelques minutes. On récupère Grégory et direction chez moi, pour y laisser ma voiture et récupérer quelques affaires. Affamés je propose des madeleines faîtes-maison qui semblent être des "étouffes-chrétiens" pour Greg et Cyril (Nin-Ja les prépare pourtant avec beaucoup d'amour enfin elle les prépare surtout avec beaucoup de beurre et de farine). Ca y est on est parti pour la Bourgogne, 2h30 de route (Cyril et Greg mangeront quand même quelques madeleines). Arrivé à Avallon, chez les grands-parents de Greg où nous retrouvons Marion, la copine de Greg. Accueillis merveilleusement bien, nous prenons tous ensemble l'apéro pour attendre fusée-Tosh tout droit arrivé d'Orange. Yvette n'hésite pas à dire à Greg qu'il ne doit pas reprendre 5kg sinon il ressemblera à un petit cochon de lait et lui demande où sont passé ses cheveux (elle lui avait quand fait un beau compliment en arrivant: il faisait vraiment "homme"). Et là on passe à table, nourriture merveilleuse mais trop abondante car je me dois de lancer une petite phrase "Je vais être malpoli mais je vais m'assoir dans le canapé" (cette phrase restera pour le week-end). Je suis donc la fin du repas de loin sans vraiment savoir ce qui s'y passe (nous avons été rejoint par Patrice, l'oncle de Greg et qui sera notre hôte - à Cyril, Tosh et moi-même). Je suis pris d'un sursaut de vitalité (et après un tour aux toilettes j'avoue), je reviens pour le digestif et nous voila tous reparti pour un tour d'horizon des digestifs (cerise,prune,pomme,...). Bien usé nous allons nous coucher chez le Tonton Patrice. Avant de dormir, Cyril et Tosh découvre au dessus de leur lit une petite araignée d'une 15aine de cm (problème rapidement résolu par Cyril).

Samedi, réveil matinal à 11h, puis gratin au déjeuner chez Patrice avec Greg et Marion. Et c'est parti pour la promenade.
Petit tour dans Avallon, ville touristique fortifiée qui fut décimée par la lèpre. Office du tourisme et achat d'une carte des routes du vin (carte que j'oublierais quelque part).
Cette fois, nous partons en promenade avec la voiture, premier arrêt dans la vallée du Cousin et découverte d'un cours d'eau tranquille où il ferait bon pêché avec une petite bouteille de vin près de soi.
La visite se poursuit par une agréable place au bord de l'eau (la Cure) où quelques couples et familles se prélassent.
Nouvelle étape, le village de Vézelay, en plein soleil, grosse montée pour aller sur une jolie église abritant les reliques de Marie. Sur cette montée, dégustation de quelques vins et achat de quelques bouteilles. Avant-dernier arrêt, près des roches... (redonnez moi le nom svp) habité par des aires d'aîgles royaux et qui est un des plus difficiles lieus d'escalade en France.
Derniere étape, les caves de Bailly et ses 5 millions de bouteilles. A l'intérieur d'une cave, le lieu est frais et plutot bien décoré. Le service est lent et peu sympatique. Quoiqu'il en soit different vins et crémants sont dégustés ce qui débouchera sur l'achat de quelques bouteilles.
Il commence à se faire tard la visite est terminé, nous retournons prendre l'apéro chez Patrice.
3 ou 4 bouteilles de blanc après c'est direction le restaurant "le relais des gourmets". La nourriture est ou semble très bonne (je dis "semble" car Greg aura quelques difficultés à digérer son velouté d'escargot). Par contre petit hic: le vin et les années. Cyril commande une bouteille de Côtes de nuits 1999 et peu après l'ouverture de celle-ci Cyril remarque que la bouteille est de 2004. Si le fond de la critique est tout à fait justifié, la forme de la plainte est quelque peu violente, ce qui entraîne une légère animosité durant le début du repas, tout pourrait aller bien si la deuxieme bouteille (un vin différent) ne comportait encore une fois une erreur sans pour autant être signalé avant l'ouverture. Sentant la colère montée, je me décide à aller en parler au petit monsieur qui propose à Cyril de visiter la cave, cave qui est quasiment vide. Evidemment le serveur donne des arguments bidons (trop cher de réactualiser la carte des vins) ce qui n'irritent qu'un peu plus la clientèle. Réduction de 10 euros sera donnée (plutôt léger à mon goût mais pas d'humeur à faire scandale).
Direction la boite de nuit d'Avallon, ambiance assez rurale ouù tout le monde connait tout le monde, petit altercation au bar car un monsieur de 40 ans environ me dit "c'est possible de se servir car je suis entraîneur de football", me doutant qu'il a peur pour sa bouteille de whisky, je lui répond ne pas aimer le whisky et lui en me regardant de ne pas aimer les tapettes. Bref fort sympatique. Cyril, Tosh et Marion font quelques pas de danse sur du K-maro et je cuve tranquille à coté de Greg qui tente de digérer. Ce dernier fera la rencontre de son cousin, le fils à Patrice (je ne dirais pas que le monde est petit car c'est plus probablement la ville qui l'est). Je propose à Gregory de partir mais les 3 autres semblent déjà à l'extérieur. Petite inquiétude de ma part quand j'entend le patron se plaindre à ses videurs qu'ils ont tapés un peu fort mais heureusement les 3 compères sont tranquillement là assis à l'entrée de la boite.
Retour chez Patrice et gros dodo.

Dimanche, dernier repas chez Patrice avec les grands-parents, puis départ pour Beaune. Arrivé en ville, nous faisons le tour des premieres caves et c'est la déception, tout est très cher. Dans le centre de la ville, on découvre un magasin avec dégustation de quelques bons vins (Tosh y fera quelques achats) puis nous continuons dans la ville et arrivont à un magasin fermé où une ancienne nous ouvrira quand même et nous expliquera qu'il n'y aucune dégustation possible dans la ville. Donc nous repartons et à 10 mètres de là, une jeune femme for sympathique nous propose la dégustation de la majorité de ses vins. Nous repartirons avec plusieurs cartons. Cyril est décu, il n'a pas trouvé de vins lui plaisant à un prix raisonnable.
Je repars donc avec Tosh tandis que Marion et Greg repartent avec Cyril.

Et là c'est la vrai fin des vacances.

Donc voila de retour de vacances, une semaine à aigues-mortes chez mes parents (qui n'étaient pas là). Un petit programme tranquille, avec Alexandra et son homme Guillaume "Tosh" (futurrrrrr papa), Cyril (qui hurle un peu), Guillaume "l'antilope" (qui hurle beaucoup) et Edouard (qui fout son camp).

Arrivé le samedi, la joyeuse équipe a comme première idée de sortir en boite à la Grande Motte dès le samedi soir et de laisser Alex en tant que gardienne de la maison (elle était fatiguée). Tosh s'impose comme conducteur sérieux et capitaine de soirée. Les 4 autres se dirigent vers la boite de nuit d'un pas quelque peu alcoolisé. Et les hostilités commencent avec Cyril qui ne restent qu'un laps de temps réduit dans la boite de nuit, suivi de près par l'antilope qui a pris un coup de chaud. Je sors à mon tour sans trouver personne, Edouard et Tosh me rejoigne. Et la c'est le drame l'antilope est la (toute juste sortie du caniveau) mais Cyril manque à l'appel. Après une heure et demi de recherche, la voiture repart sans Cyril pour Aigues-Mortes.

8h du matin, l'antilope pourtant a 1 mètre de la porte n'entend pas le retour triomphant de Cyril avec les croissants et pain au chocolat (15km a pied avec escale à l'hotel Mercure ca use son homme). Une journée tranquille, très tranquille les forces sont affaiblies. Même si je m'énerve un grand coup contre les 4 molassons qui jouent aux cartes et qui m'avait promis de m'apporter en ville un cubitainer (j'étais avec Alex). Faut dire j'étais charette pour le magasin. Le soir, premiers échanges houleux au pub le Tac Tac avec un "faut sortir dans la vie" pour moi et "jeune homme" pour Tosh (qui est vieux rappelons le).

Le lundi à la plage, direction la plage de l'espiguette (4euro50 par voiture ca fait mal). Avantage non des moindres, un terrain de beach volley collé contre une paillotte. Désavantage une vieille sur son matelas de location à moitié au milieu du terrain. Pas manqué le premier ballon lui finit de dessus. Bilan: elle se plaind => je dis fort qu'elle etait surement pas là avant le terrain => cyril réplique que vu son age il en doute fortement.=> le plagiste est pas content. Dans l'après-midi, Alex et Tosh rentre à Orange. Il n'en reste plus que 4. Dans un grand élan de générosité, Cyril propose à une jeune voisine de venir boire l'apéro (ce qu'elle accepte). La jeune femme qu'on appellera L. comme la jeune chanteuse francaise d'une vingtaine d'années qui chante "toute seule". Après son départ, la fine équipe finira torchon carpet à l'absinthe et au génépi. Alcools qui donneront un peu de hurlement de la part de Cyril et l'Antilope suite à une victoire footballistique à l'arrachée de ma part sur l'Antilope.

Mardi, grosse fatigue, l'Antilope nous quitte, nous ne sommes plus que trois. Journée tranquille à la maison. Petit barbecue le soir et revisite de notre voisine L.

Mercredi, petit tour à la plage et préparation car ce soir c'est soirée foot avec France-Italie sans Zidane ni Materazi. Un match fort sympathique pleins de but avec la présence de notre voisine.

Jeudi, c'est le dernier soir, on passe un moment au Tac-Tac (petit pub), on boit quelques bières rafraichissantes et surprise on tombe sur un ingénieur anglais habitant à Paisley (le monde est petit). Retour à la maison, discussion au tour d'un Vacqueyras avec deux anglais invités à la va-vite (60ans chacun).Les deux nouveaux venus sont saouls et je m'enterre en racontant une blague pas drole en anglais. Après c'est départ en boite de nuit avec L. comme conductrice (à Lattes au sud de Montpellier), Edouard sort avec L.; Cyril paye ses conso avec ma carte bleue: bref tout va bien. Retour à la maison, Edouard prend un fout moi ton camp, bilan nous dormons tous les trois chez moi.

Vendredi c'est le nettoyage puis le départ voila c'est fini pour les vacances du Sud.

Ah bon bon bon
Heureux hein?
L., la copine d'Edouard
Cyril sur le retour en voiture